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Le Point 15/03/14 Marisol Touraine souhaite créer les conditions d'un accès plus ouvert, respectueux du secret médical et de la vie privée. Éclairage. Photo d'illustration. Photo d'illustration. © VOISIN / Phanie Par Laurence Neuer À la une du Point.fr Un cryptographe à la tête de la cyberdéfense française Le gouvernement turc bloque l'accès à YouTube ! Japon : libre après un demi-siècle dans le couloir de la mort À ne pas manquer Les journalistes, des robots ? Par Sophie de Bellemanière Les vrais enjeux de l'après-municipales Par Nicolas Baverez Michel Platini tacle violemment Sepp Blatter Par Frédéric Therin VIDÉO. Paris : le débat NKM-Hidalgo vire à la cacophonie Journal d'un prof débutant : "Mieux vaut apprendre à lire qu'à nager" Par Louise Cuneo Le fiasco des calculs électoraux de François Hollande Par Emmanuel Berretta Connaître le taux d'efficacité d'un anti-diabétique, réaliser des études prospectives sur un traitement anticancéreux, éviter les catastrophes sanitaires... Les raisons qui militent pour une ouverture maîtrisée des données anonymes de santé sont multiples. À commencer par l'impératif de santé publique. Ainsi, concernant l'affaire du Mediator, les données obtenues grâce à la bataille menée par le collectif Initiative Transparence Santé (ITS) lui ont permis d'observer que les "pouvoirs publics étaient au courant des dérives de prescription dont le médicament de Servier était l'objet, à savoir qu'il était prescrit dans environ 80 % des cas hors de ses indications officielles. [...] Un suivi plus strict des prescriptions accompagné d'une action auprès des médecins prescripteurs aurait, selon nous, permis d'éviter un grand nombre de morts", affirme l'association sur son site. Mais l'accès aux informations aboutissant à ce constat a dû être forcé : ITS a saisi la Commission d'accès aux documents administratifs (Cada), dont l

CNIL, 13/01/15 Le Gouvernement a annoncé en février 2013 son intention de déposer un projet de loi sur le numérique. La CNIL a engagé une réflexion qui l'a conduite à présenter en mars 2014 plusieurs propositions d'évolution législative. A l'occasion des débats organisés par le Conseil national du numérique, elle a décidé de verser ces propositions au débat public.

BULAC, 29/01.18 Qu'elle soit organisée par les géants du web ou les gouvernements, dans un objectif économique, politique, ou encore de lutte contre le terrorisme la surveillance nous concerne tou·te·s. Outil de protection des populations ou de l'ordre public pour les uns, une surveillance généralisée peut entraîner pour d'autres un développement de l'autocensure, menacer la vie privée, la liberté d'expression ou la liberté d'accéder à l'information. Ce contexte nouveau plonge les professionnels de l'information-documentation dans de nombreux questionnements et débats éthiques et juridiques. Sur un thème inédit dans une journée d'étude, l'ABF souhaite contribuer au débat :

Acteurs publics, 16/10/17 Ubériser les services publics et bâtir un État plate forme, oui, mais nos territoires y sont ils vraiment prêts ? Face à la montée en puissance du numérique, les pouvoirs publics ont lancé des plans haut débit pour renforcer l'accessibilité sur les territoires, accessibilité qui fait encore parfois défaut. Face aux mutations technologiques, l'État a un rôle d'accompagnement à jouer, que ce soit pour former les citoyens, inégaux face à l'utilisation du numérique, mais aussi un rôle d'anticipation afin d'éviter les écueils d'une concurrence accrue entre activités.

CPU - Conférence des présidents d'université, 18/03/15 Entretien avec Jean-Emile Gombert

Institut Français, 2014 Publication d'une étude consacrée aux humanités numériques, soutien à la participation de chercheurs français à la conférence Digital Humanities 2014 de Lausanne, table ronde au Salon du livre, rencontres et débats dans le réseau culturel : l'Institut français investit le champ stratégique des « humanités numériques ».

par Clotilde Coron (doctorante CIFRE -Sciences Po)- Huffington Post - Tête chercheuse, 19/11/13 Ce billet a été publié dans le cadre de l'opération Têtes Chercheuses, qui permet à des étudiants ou chercheurs de grandes écoles, d'universités ou de centres de recherche partenaires de promouvoir des projets innovants en les rendant accessibles, et ainsi participer au débat public.

Acteurs publics, 15/01/15 "La culture digitale est insuffisamment partagée par ceux qui ont la responsabilité des administrations", a estimé le secrétaire d'État à la Réforme de l'État, le 14 janvier, lors d'un débat organisé à l'Assemblée nationale sur la stratégie numérique de la France. Il y a nécessité d'accompagner "l'émergence de nouvelles élites", a-t-il souligné.

Par Dominique Cardon, 13/4/19 Après avoir été investies de promesses démocratiques, les technologies numériques sont aujourd'hui accusées d'être le vecteur des infox et de faire le lit des populismes. Si présent dans le débat public, ce mouvement de balancier est simpliste et naïf. Il unifie le numérique et ses pratiques dans un ensemble homogène et se rend constamment coupable de déterminisme technologique. La grande transition numérique que nous sommes en train de connaître est si massive, si généralisée et si profonde qu'il faut apprendre à se défaire de ce réductionnisme.

par Martin Untersinger - Le Monde, 29/10/19 La Commission de l'informatique et des libertés a estimé illégaux deux projets, l'un de reconnaissance faciale destinée à des lycées et l'autre de micros dans la rue, et appelle de nouveau à un débat public.

Slate, 21/01/13

par Bernard Stiegler - La Croix, 04/12/12

séminaire EHESS E. Dagiral et S. Parasie 15 janv. 2013 [Slideshare]

by Amandine Scherrer & Didier Bigo - Open Democracy, 02/15 via Spire Sciences Po